Retrouvaille {PV Eowyn}

*DATE DE NAISSANCE : 21/09/1988*

Étant arrivé la veille, je devais absolument me trouver de nouveaux meubles. J'avais trouvé un appartement plus tôt dans la journée. En fait, j'avais été vraiment chanceux. N'étant pas très riche, j'avais réussi à me trouver un petit loft non loin des magasins. Une aubaine. Pas trop cher et assez grand pour environs quatre personnes. Bien que je fusse seul, j’aimais bien avoir de l'espace. Il fallait maintenant que je le meuble pour vraiment m'installer. J’étais donc venu voir au centre commercial. On y trouve toujours un magasin pour un lit, une table, des chaises, un divan, une télévision et tout l'attirail pour un appartement. J’avais assez d’argent pour recommencer ma vie, mais je devais trouver un travail au plus vite pour pouvoir survivre par la suite. Je regarderai un peu plus tard dans la journée. Je devais d’abord faire mon shopping et ensuite, je devais aller voir Eowyn. C’était primordial. Je ne cessais de penser à elle depuis que je savais pour le bébé. Il fallait que je m’explique avec elle et que je lui dise que je serais toujours la pour elle et pour le petit.

J’étais tranquillement en train de marcher lorsque je vis exactement ce que je cherchais. Le magasin qu’il me fallait. Ce n’était pas du grand luxe, mais cela allait faire l’affaire. J’entrai donc, espérant y trouver des merveilles. J’y trouvai un lit superbe. Un lit à baldaquin avec un matelas des plus confortable et comme je les aime ; un matelas mou qui prend la forme de la personne qui s’y installe, peu importe qui est la personne. Je découvris un grand bureau beige pour y ranger mes vêtements. Je pris des draps, une couverture et des taies d’oreiller d’un bleu sombre. Des oreillers mous venaient clôturer le tout pour ma chambre. Je demandai s’il m’était possible qu’il me soit livré dans la journée, ce que l’on m’accorda. Je payai le tout et sortit à la recherche d’un autre magasin.

Le deuxième magasin où j’entrai fût celui d’électronique. J’avais besoin d’une télévision, petite, mais je voulais un peu de luxe cette fois. Je regardai donc pendant une bonne trentaine de minute quand je me décidai enfin à prendre une télévision plasma à écran plat de 36’’. J’en profitai en même temps pour prendre un petit ordinateur. Ce n’était certes pas le grand luxe cette fois, mais il ferait l’affaire pour une bonne période. Un téléphone sans fil et un réveille-matin vain clôturé le tout pour le magasin d’électronique. J’en ressorti avec un seul sac ; pour le téléphone et le réveille-matin. Le reste me serait livré dans la journée où, au plus tard demain.

Je décidai d’aller manger un petit quelque chose. Je n’avais pas déjeuné. Je n’aimais pas déjeuné. Il me fallait toujours du temps pour pouvoir vraiment avalé quelque chose après m’avoir levé. Je ne sais pas pourquoi, je ne supportais pas le fait de manger en me réveillant. J’avais trop de haut le cœur pour le restant de la journée. J’attendais donc quelques heures avant de déjeuner et, ce matin, je ne l’avais pas fait. Je me dirigeai donc vers un endroit où je pourrais mangé un petit quelque chose, mais, comme je ne connaissais pas trop bien l’endroit, je ne savais pas du tout où je devais aller. Je remarquai à quelques pas de moi, quelqu’un qui venait en ma direction. Je l’arrêtai donc et lui demanda mon chemin, ce qu’il m’indiqua avec gentillesse. Je m’y rendis donc.

Arrivé sur place, j’eu une surprise de taille. Alors que j’avais pris à manger et que je m’étais dirigé bers une table, je vis quelqu’un que je connaissais très bien. Elle était donc en train de faire du shopping elle aussi. Qu’elle coïncidence. Je n’avais donc pas besoin de la chercher dans toute la ville pour pouvoir lui parler. Je l’a vit s’asseoir à une tale. Je me dirigeai donc vers elle. Je ne savais pas trop comment elle prendrait nos retrouvailles, mais j’avais besoin de lui parler. Je m’arrêtai quelques instants derrière elle. Comment devais-je l’abordé ? Ah ! Et puis tant pis si elle s’enfuyait, tant que j’avais pu m’expliquer avec elle. Je m’approchai donc.

- Salut ! Je peux m’asseoir avec toi ?

*DATE DE NAISSANCE : 18/04/1993*

Sebastian L. Marquez ~ Je sais que tu ne veux pas mais va bien falloir que tu meulbe la chambre de notre crevette

Me lança-t-il se matin alors que je me goinffrais de corn flaks Je lève les yeux de mon bol alors que du lait coulait de ma bouche. Cela dit je la vide avant de répondre un vague "mouais on a encore le temps" Je disais cela depuis plus de quatre mois et en effet, il y a quatre moi ce n'était pas urgent mais mon ventre approchait du huit mois c'est pour cela que mon grand frère me secouait quelque peu les puces et d'un côté il a tout à fait raison. Il fronce les sourcils et me fait ma lever de ma chaise pour m'emmener dans ma chambre me forçant presque a me pomponner pour sortir. Mais merde j'aime pas sortir avec cet espèce d'airbag.

Sebastian L. Marquez ~ Si tu fait cela pour lui je te promet que dès que tu aura accoucher je t'offre la fameuse robe rouge a $ 700

A. Eowyn Marquez ~ Ca c'est déloyal ! C'est du chantage pur et dur et tu touche le point faible, vilain !

Dis-je sans parvenir à cacher mon sourire à l'idée de pouvoir enfilé cette magnifique Versace que j'ai vu en vitrine en allant faire un tours à Las Vegas il y a de cela deux semaines. Sebastian ne cache pas son contentement et me laisse m'habiller. J'enfile un jean troué et usé style baggy, un top rose fluo et par dessus un vieux sweet shirt à mon frère que j'ai un peu personnalisé en le découpant. J'enfile mes fameuse converses vertes pomme et fait l'effort de me faire une queue de cheval et de juste souligner mes yeux au crayon pour masquer la fatigue.

Mon frère me mène au centre commercial en me disant qu'il avait rendez vous avec elle. Oui oui sa chérie qu'il a toujours pas voulu me présenter. Quoi il a peur que je la fasse fuir pouquoi je suis pourtant pas méchante...enfin pas vraiment, disons que je suis simplement très directe avec les gens surtout avec les filles qui pourraient prendre le coeur de mon grand frère.

Une fois seule dans le centre je soupire et avance d'un air quelque peu blasé vers une boutique de bébé ou je trouve de très jolies grenouillères et j'ai vraiment craqué sur un ensemble plutôt de baby rocker. J'achète également son lit à barreau, sa poussette et son landeau la table la langer aussi et divers accecoire comme une mobile avec des petit animaux un chauffe biberons des biberons un tire-lait mais je vais pas le dire, c'est super génant. Tous les objets volumineux son rester au magasin et lorsque Seb' reviendra il les mettra dans le coffre.

Ensuite je passe devant H&M Ils on a monstre grand rayons pour les fille dnas mon...état déplorable du coup je me dit qu'il n'est pas interdit de ce faire plaisir c'est pourquoi je m'achète quelques haut et un jean de grossesse. cela dit les sous-vêtement de grossesse sont vraiment affreux pas de dentelles rien de très original juste des énorme machin pas rembourré blanc ou noir. Y a pas à dire mais mon petit jaune abeille et mon vert forêt me manque avec leurs dentelles sexy et les petits strass. J'aimais aussi que l'on puisse mettre les bretelles comme on le désirait.... Enfin à contre coeur j'achète deux nouveau soutien-gorges en plus des quelques hauts et le jeans.

En sortant du magasin je sens mon ventre gargouiller c'est la que je vois un bar à milkshakes ! Avec d'autre chose évidemment . Je m'y rends et commande un milkshake aux fruits de la passion et un muffins aux myrtilles. Je me train ensuite jusqu'a une table libre. J'aime pas quand les gens me dévisage. OUI J'AI 17 ANS ET JE SUIS ENCEINTE quoi vous avez jamais eus des accidents dans votre vie vous ? C'est pas entièrement de ma faute non plus hein. C'est alors que, en ruminant ma colère et mon muffin j'entends une voix familière.

Stephen T. Williams ~ Salut ! Je peux m’asseoir avec toi ?

Je le regarde un moment vraiment choquée de le voir ici. En effet c'était la dernière personne que j'aurais imaginer croiser à Freedom's Town, le père de mon bébé.. je sais même pas s'il le sais d'ailleurs.

A. Eowyn Marquez ~ Oui évidemment...Ahem comment tu vas ?

Demandais-je bêtement en déplaçant mes sac de shopping et en les mettant à côté de ma chaise pour libéré celle que Sephen allait occuper. Je fait alors un sourire un peu gêner.